Drapés dans des mensonges, ils vont…

Apartheid, blocus, génocide, famine… Autant de mensonges qui ont pour seul objectif d’accuser Israël, de fanatiser les soi-disant défenseurs du peuple palestinien, de Columbia (NYC) à Sciences Po Paris, qui, fiers, se rangent du coté des terroristes du Hamas, du Hezbollah, du Yemen et de l’Iran, qui souhaitent l’éradication d’Israël et justifient tout acte antisémite. Drapés dans des keffiehs, les mains badigeonnées de rouge, vomissant des slogans antisémites, ils se présentent en sauveurs du monde, justiciers satisfaits… Ils sont devenus des idolâtres fous qui ne s’indignent pas quand, à l’université de Yale, une jeune femme, parce que juive, est agressée à l’aide d’un drapeau palestinien.

Voici ces mensonges qui enflent les rangs des sanguinaires :

Un régime d’Apartheid en Israël

Accuser Israël d’avoir un régime d’Apartheid est le premier grand mensonge. Il a été élaboré en 2001 lors de la conférence de Durban. Nous avons déjà traité ce sujet dans la Cheuille de Fou, article du 4 avril 2023.

L’occupation de Gaza par Israël

Israël a évacué à l’aide de son armée sa dernière colonie de la bande de Gaza en août 2005. C’est l’opération « Main tendue aux frères » décidée par Ariel Sharon alors Premier Ministre. En 2007 le Hamas prend le pouvoir dans un bain de sang de palestiniens.

L’expansion effrénée d’Israël

Les dernières conquêtes de territoires datent de la guerre des Six Jours, en 1967. Depuis 1981 le territoire israélien se réduit avec, cette année là, le retrait du Sinaï qui revenait à l’Egypte, puis le retrait du sud Liban en 2000, qui amène le Hezbollah, puis celui de Gaza en 2005 on l’a dit. La Cisjordanie est occupée depuis 1967 et le reste.
Nous pourrions même ajouter que depuis le 7/10 Israël a perdu des territoires aux frontières du Liban et de Gaza, territoires inhabitables à cause des agressions quotidiennes du Hezbollah et du Hamas, plus de 200 000 israéliens ont été déplacés (on en entend peu parler).

Le génocide du peuple palestinien par Israël

L’augmentation de la population palestinienne à Gaza comme en Cisjordanie ne laisse aucun doute, il n’y a pas de génocide depuis 1948. A Gaza, en 70 ans, la population est passée de 300 000 à plus de 2 300 000. En Cisjordanie elle est de plus de 3 000 000. Enfin en décembre 2023 quand la Cour Internationale de Justice a accepté la demande de l’Afrique du Sud de dénoncer un cas de génocide plausible à Gaza, cela ne signifie pas qu’elle en ait validé le contenu contrairement aux conclusions hâtives qui ont été faites. La présidente de la CIJ, Joan Donoghue, a dû intervenir à la BBC pour expliquer les conclusions de cette requête :  la CIJ « n’a pas décidé que l’allégation de génocide était plausible »  (25 avril 2024).

Pas de famine, des dizaines de camions entrent chaque jour dans la bande de Gaza. Les images d’enfants prétendument affamés étaient celles d’enfants atteints de maladies chroniques, rien à voir avec Israël encore une fois. 

Pas de bombardement de l’hôpital Al-Ahli… et encore, non, Israël n’est pas responsable de la fosse commune de l’hôpital de Nasser. Non, Tsahal ne viole pas les femmes à Gaza et ne torture pas ses prisonniers en Israël…

Autant de mensonges, d’inversions accusatoires, pendant que le Hamas prône le califat mondial… après les Juifs, ce sera le tour des chrétiens et d’autres mécréants de tomber sous leur haine, tous kouffars qu’ils sont.